Emmanuel Macron ne cesse de faire parler de lui. C’est le nouveau roi de la provoc, à côté l’équipe d’Hara-Kiri c’était Chantal Goya qui tire la queue du Mickey. C’est un ouf, dans sa tête vit un punk à crête jaune qui dégoupille des 8.6 avec les dents. Macron c’est les quatre gonzes des Sex Pistols à lui seul, un déglingos prêt à bouffer du socialiste.
Il y a 3 semaines, au MEDEF, il avait attaqué les 35h devant des patrons ivres de désir pour lui, là s’il avait montré un seul téton, ça dégénérait en orgie, avec les pages saumon du Figaro dépliées par terre pour ne pas salir le sol. La mère Aubry, peu habituée à ce qu’on la cherche, car elle a l’état d’esprit d’Attila et le physique de Goliath, en avait recraché ses frites. Mais Macron, il s’en fiche, c’est un kamikaze, en 41 il aurait fait Pearl Harbor, il est capable d’aller à un concert de Sepultura sans bouchons d’oreille ou de donner rendez-vous à Yannick Noah dans un magasin Bata.
Vendredi, il s’en est donc pris aux fonctionnaires, lors d’un think tank, en français "réunion de glandeurs qui font semblant de penser au lieu d’agir". Il a dit "l’emploi à vie, c’est fini", or c’est la garantie qui fait qu’on devient fonctionnaire, comme les congés quand on devient prof ou les économies qu’on fait en achat de slips quand on travaille dans le porno.
Certains fonctionnaires bossent en effet 50 ans dans le même bureau, parfois à la préfecture, on réalise que la dame des cartes grises est morte depuis 3 ans, mais comme de son vivant elle avait le même rythme, personne n’avait rien remarqué.
Or, le statut des fonctionnaires à gauche, c’est tabou, on n’y touche pas...
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