"Ce fut chaud, bouillant, mais je suis indemne", lâche Nicolas Domenach, qui évoque des bousculades, des gifles, des coups de gueule et des coups de coude. "Je confesse avoir pris des risques. Mais vous savez que je suis aussi un journaliste de terrain, fut-il escarpé, vallonné en l’occurrence : un mètre de tour de poitrine tout de même et quatorze couvertures de Playboy, dont celle de l’hivers qui vous réchauffe un mort", poursuit-il. La star d'Alerte à Malibu était là pour défendre une cause animale, et plus précisément une proposition de loi déposée par la députée écolo contre le gavage des oies. "Ce qui était intéressant c’était cette volonté des écologistes de sortir enfin des catacombes, où leur sectarisme les a perdus", décrypte-t-il. "Déjà travailler avec la fondation Bardot, très marquée extrême droite, c’était le signe d’une évolution. Mais aller chercher une star américaine c’était une révolution", note-t-il.
"Je dois vous avouer une chose : après avoir réchappé à l’émeute et aux seins de Pamela, je suis allé me faire un petit foie gras mi-cuit, relevé d’un petit vin de derrière les fagots. J’ai honte, mais mais c’était bon, si bon. Trop bon !", conclut Nicolas Domenach.
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