Selon Benoit Hamon, s'ils avaient été appelés aux urnes dimanche, "les Français auraient voté de la même manière que les Grecs". Ces derniers se sont massivement prononcés contre les réformes proposées par les créanciers du pays lors du référendum qui s'est tenu dimanche 5 juillet dans le berceau de la démocratie.
Invité de RTL, l'ancien ministre de l’Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche a au passage dénoncé les politiques menées actuellement, qui,"assèchent", selon lui, "la croissance en Europe".
"Il faut que la vision française progressiste prenne le dessus", a lancé Benoit Hamon, avide que cette vision prédomine enfin sur celle de l'Allemagne, pour "que l'Europe soit plus solidaire qu'elle l'est aujourd'hui".
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