Le président russe, interrogé par un journaliste de CNN, a renouvelé les mots sympathiques qu’il a déjà eu pour Donald Trump. Tout en prenant garde de ne pas intervenir directement dans la campagne d’un pays souverain, ce qu’il reproche souvent aux Américains de faire. "J’ai seulement dit qu’il était brillant, il l’est, non ?" Donald Trump a affirmé à plusieurs reprises son souhait de rétablir une relation de confiance avec Moscou, après des années de guerre fraîche entre Poutine et Obama, sur l’Ukraine, la Syrie et d’autres sujets.
L’ancienne secrétaire d’État Clinton répète que le président russe n’attend qu’une chose : profiter de la faiblesse et de la naïveté d’un président américain sans expérience comme Donald Trump. Après avoir reçu le soutien de Kim Jung-un, il semble que le magnat de l'immobilier ait un certain succès auprès des "dirigeants autoritaires".
C’est un signe intéressant que la pilule Trump ne passe pas, malgré sa nomination par le parti républicain : Apple, à son tour, décide de ne pas sponsoriser, comme elle le fait d’ordinaire, la convention du parti à Cleveland, le mois prochain. À cause de Trump. Et pas seulement pour la menace qu’il représente pour l’Amérique. Après le bras de fer entre le FBI et Washington à la suite de la tuerie de San Bernardino, les enquêteurs avaient dû se passer de la coopération de la marque à la pomme pour accéder au contenu de l’iPhone d’un terroriste.
Trump avait alors promis d’imposer une "porte de derrière" sur tous les appareils électroniques, ce qui remettrait en cause la confidentialité de tous les utilisateurs s'insurge Apple. Google, Facebook et Microsoft maintiennent, eux, leurs engagements financiers.
La famille Clinton s’élargit. Leur fille unique, Chelsea, était déjà maman d’une petite fille, Charlotte, vient d’accoucher d’un garçon, Aidan.
Évidemment, les grands parents sont ravis.
Et la candidate a aussi posté à l’occasion de la fête des Pères une photo ressortie des archives de la famille dans les années 80, quand Bill Clinton était gouverneur de l’Arkansas.
Carl Bernstein est l’un des deux journalistes du Washington Post, avec Bod Woodward, à avoir révélé le Watergate, qui a fait chuter le président Nixon. Ce dimanche, sur CNN, il participait à un débat sur la décision de Trump de refuser désormais d’accréditer les journalistes du Washington Post pour ses meetings, en représailles à des articles qu’il n’a pas aimé.
Carl Bernstein a résumé la menace Trump en deux formules : "menteur pathologique" et "néo fasciste" (à 1'55).
Deux petites perles des discours de Trump ce weekend :
J’aime beaucoup les sondages… mais seulement quand je gagne
Donald Trump
C’est incroyable, j’ai été à la Une de TIME Magazine si souvent, et sur toutes les unes, je me sens comme un supermodel, mais puissance 10
Donald Trump
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