"C’était il y a un mois, c’était il y a un an, c’était il y a un siècle", lance Éric Zemmour en introduction. "Les 'on va y arriver", les leçons de morale de fille de pasteur luthérien, la bonne conscience, Les unes du monde entier à sa gloire, La promesse d’un prix Nobel de la paix : pour Angela Merkel aussi, c’était mieux avant", poursuit le journaliste. Selon lui, le temps de toutes les factures est venu" pour la chancelière allemande. "Elle n’a pas fini de payer, pour ses illusions, ses chimères, son arrogance", décrypte-t-il.
"Elle ne s’est pas rendue compte qu’elle ne faisait qu’inverser leur comportement. Les nazis idéalisaient l’identité allemande en diabolisant l’Autre. Angela Merkel a idéalisé l’Autre en diabolisant l’identité allemande", analyse encore Éric Zemmour. Ainsi, "tous les pays de l’Est, que Merkel croyait avoir achetés, se sont rebiffés". Les Italiens et les Français l'ont ensuite lâchée sur la crise des migrants. "On revenait aux fondamentaux, loin des illusions universalistes des bien-pensants et de la commission de Bruxelles : les frontières servaient à quelque chose !", insiste-t-il.
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