Les méthodes de contraception ne sont pas infaillibles. C'est ce que démontre (et rappelle) une étude britannique du British Pregnancy Advisory Service, le planning familial outre-Manche et qui dispose de plusieurs cliniques où l'on pratique l'avortement.
Après avoir récolté les données de plus de 14.000 femmes passées dans l'une de ces cliniques, le British Pregnancy Service a pu déterminer que plus de la moitié des femmes ayant eu recours à une interruption volontaire de grossesse étaient sous contraception, rapporte l'édition britannique de Marie Claire.
24,1% d'entres elles utilisaient une contraception hormonale, telle que la pilule, l'implant ou le stérilet tandis que 27.1% de ces 14.000 femmes se protégeaient des grossesses non désirées grâce à une contraception non hormonale comme le préservatif ou le diaphragme.
Cette étude rappelle donc que ces méthodes ne sont pas fiables à 100% au Royaume-Uni comme en France où, selon des chiffres du Planning Familial, 76,2% des Françaises utilisent un moyen de contraception.
Pour rappel, si un implant est efficace à 99,9%, la pilule et le patch le sont à 91% tandis que le préservatif assure 85% d'efficacité pratique, selon le site "choisir sa contraception".
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