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Quand Twitter se fait envahir par des tweets racistes à propos du prochain Star Wars
REPLAY - CLICS À LA UNE - Avec le hashtag #BoycottStarWarsVII, quelques trolls racistes ont souhaité faire le buzz avec une polémique absurde.
John Boyega dans "Star Wars 7"
Crédit : Capture d'écran
Ce mardi 20 octobre nous avons pu découvrir la dernière bande-annonce officielle du prochain Star Wars et pourtant tout le monde n'est pas ravi par cette sortie ciné sur les réseaux sociaux. Nous avons vu apparaître un hashtag : #BoycottStarWarsVII. Alors on pourrait croire à une meute de fans en colère contre l’adaptation de J. J. Abrams de l'œuvre de Georges Lucas ou à l'action d'une association contre la science-fiction et les sabres laser, mais non. Il faut "remercier" une troupe d'internautes racistes pour ce hashtag.
D'après eux, il faudrait boycotter Star Wars car ils maltraiteraient les blancs qui ne seraient pas assez présents à l'image. Trop de diversité pour eux... Comme à chaque fois, l'action de ce que l'on nomme gentiment sur internet des trolls, est devenue virale par la contre-attaque d'internautes choqués par l'argumentaire raciste.
J. J. Abrams, le réalisateur du film, a d'ailleurs évoqué la polémique en postant un message sur Twitter : "Nous avons hâte de partager cette bande annonce. Je me fiche que vous soyez noir, blanc, marrons, Jawa, Wookiee, Jedi ou Sith. J'espère juste que vous l'aimerez."
Wonder Oprah à la rescousse de l'économie
Un tweet d'Oprah Winfrey, la papesse des talk-shows aux États-Unis peut-il sauver votre entreprise ?
Un tweet sans doute. Un petit investissement aussi. Après avoir tweeté une célèbre friteuse Téfal qui cuit les frites avec seulement une cuillère d'huile et lancé un vrai intérêt transatlantique pour l'appareil il y a quelques années, Oprah a récidivé avec le programme de minceur Weight Watcher. Un tweet : "Je crois tellement dans le programme Weight Watchers que j'ai décidé d'investir personnellement, de rejoindre la direction". Aussitôt tweeté aussitôt fait : elle a acquis, avec ses quelques 3 milliards sur son compte en banque, 10% de la société qui n'allait pas très bien financièrement. 43 millions le geste de soutien et… ça marche. En l'espace d'une séance, la valeur du titre a ainsi doublé (+105%) pour finir à 13,92 dollars.