De Hollywood à la Silicon Valley, la route n'est finalement pas si longue. Pour Leonardo DiCaprio en tout cas, elle est même devenue une autoroute fréquentée. Car depuis plusieurs mois, l'acteur à l'impressionnante filmographie investit dans le monde des affaires et de l'innovation, à la recherche d'entreprises prometteuses.... et écolos.
En 2012 déjà, Leonardo DiCaprio commençait à s'intéresser aux initiatives qui allient innovation et environnement. Le journal Forbes annonçait à l'époque que l'acteur collaborerait avec Fisker Automotive, une entreprise innovante qui commercialise la Fisker Karma, voiture de luxe hybride et rechargeable "eco friendly". La marque tire évidemment profit du soutien de la star tandis que de son côté, Leonardo DiCaprio se voit confier la gestion de la communication et de la promotion du véhicule : une association "gagnant/gagnant", qui signe l'entrée de Leonardo DiCaprio dans le monde de l'innovation à l'américaine.
En avril 2015, l'acteur annonce qu'il va faire construire un "ecoresort", sorte de complexe hôtelier respectueux des normes écologiques, sur son île privée de Belize. Avec, derrière ce projet, un double objectif pour l'acteur américain : stabiliser le fragile écoystème de l'île grâce à des solutions innovantes et vertes mais aussi, à terme, vendre les 48 villas qui constitueraient ce complexe pour un prix allant de 4 à 14 millions d'euros. Un projet plutôt habile qui allie défi technologique et construction immobilière de luxe. Soit l'assurance de retombées financières pour l'acteur déjà multimillionnaire...
Leonardo DiCaprio n'investit pas seulement dans le luxe. En septembre 2015, l'acteur se tourne vers Rubicon Global, une start-up qui fonctionne sur le même principe qu'Uber... mais pour les camions-poubelles. Cette entreprise dispose d'une particularité : elle fait partie de ces firmes pionnières du "big data", nouvelle manne pour les investisseurs. Son principe est simple : en collectant les données de ses clients, la jeune pousse cible leurs besoins pour les aider à réduire leurs coûts de stockage et de transports des déchets. Là encore, Leonardo DiCapro réalise un investissement prudent, sans pour autant trahir son image de militant pour l'environnement.
De la fiction à la réalité, il n'y a parfois qu'un pas... Le 12 octobre, Leonardo DiCaprio annonce investir dans Diamond Foundry, une entreprise américaine qui fabrique des diamants de synthèse. Des joyaux de qualité égale aux diamants trouvés dans la nature, selon leurs concepteurs, et dont le but, entre autres, est de proposer une alternative à l'extraction controversée des diamants en Afrique. Un investissement quasiment logique quand on sait qu'en 2006, Leonardo DiCaprio incarnait dans le film Blood Diamond un mercenaire dénonçant le scandale des diamants de sang en Sierra Leone... L'acteur n'est cependant pas le seul à avoir flairé l'opportunité juteuse derrière cette nouvelle technique. Dix autres millionnaires ont investi en même temps dans la jeune pousse californienne.
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